Parler avec Eriol (Michiyo – en faveur)
Vous plaidez pour Michiyo auprès d’Eriol, expliquant qu’un siècle de solitude en captivité avait causé de la détresse à la poupée mécanique et qu’elle ne pensait pas ce qu’elle avait dit.
Votre argumentation semble calmer Eriol, dont le visage ce détend un peu, et Michiyo vous remercie silencieusement pour votre intervention.
(E) “Michiyo, ton rôle ici est primordial : sans toi, je ne pourrais pas trouver le repos dont j’ai besoin pour subsister. Lorsque je t’ai créée, je t’ai confié ce que j’ai le plus précieux : mon existence. Le sens de ta vie, c’est sauvegarder la mienne.”
La poupée mécanique écarquille grand les yeux, comme si elle venait de finalement de comprendre. C’était l’illumination qu’elle attendait depuis si longtemps. Complètement embarrassée, elle se prosterne au sol devant le dragon.
(M) “Je vous présente toutes mes excuses, Maître ! Je vous ai déçu, je suis impardonnable. Si vous désirez que je mette fin à ma vie en guise de réparation, je le ferais sur le champ !”
Eriol affiche maintenant un air amusé.
(E) “Inutile d’aller jusque-là ! Souviens-toi juste de notre discussion la prochaine fois que tu auras des doutes.”
(M) “Je vous le promets, mon Maître.”
Puis Eriol se retourne vers vous :
(E) “Vous êtes apparemment doué(e) pour plaider le cas des autres. Qu’en est-il pour vous-même ? Pourquoi êtes-vous venu(e) jusqu’ici ?”
Vous avez gagné un niveau ! Vous lancez maintenant 1d6 supplémentaire lors de la résolution d’une action incertaine.